La crise engendrée par le retrait américain de l’accord de Vienne, et les tentatives désespérées des Européens pour l’enrayer, démontrent leurs difficultés à adopter une position ferme face aux États-Unis. L’Europe doit pourtant tenir tête aux Américains si elle ne veut pas être traitée en alliée servile, ce qu’elle risque de devenir en l’absence de réaction forte. En l’espèce, se concentrer uniquement sur le dossier iranien risque de lui fermer la porte d’une stratégie plus globale.
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