D’un point de vue pratique, Erdogan ne présidera plus, il régnera en monarque absolu, ou plutôt comme un sultan ottoman. Alors qu’il lui reste encore un an et demi avant la fin de son mandat et qu’il dispose d’une majorité absolue au parlement, le président turc a quand même cru bon de céder aux sirènes et d’organiser des élections anticipées, aussi bien présidentielles que parlementaires, le 24 juin prochain.
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