Ardavan Amir-Aslani : « L’Iran se vide de ses forces vives, qui choisissent l’exil face à des perspectives désastreuses dans leur propre pays. La combinaison d’une emprise de plus en plus forte de l’autorité morale de l’Etat sur la société, et d’une économie en berne, ne pouvait que mettre à mal une cohésion sociale déjà intrinsèquement fragile »
Retrouver la tribune d’Ardavan Amir-Aslani sur l’Opinion.