Après Washington et Londres, c’est Riyad, le premier exportateur mondial de pétrole, qui a accusé le régime iranien de ces attaques non revendiquées dans le détroit d’Ormuz. Pour Ardavan Amir-Aslani, avocat au barreau de Paris et spécialiste du Moyen-Orient, « un conflit est fort probable ». Selon lui, on est dans une situation où l’on a des « extrémistes qui essaient de marquer des points à Téhéran » et qui essaient également de « pousser Donald Trump vers un conflit ouvert avec l’Iran ». Depuis le retrait américain de l’accord nucléaire en 2018, on constate que « l’économie iranienne ralentit chaque jour davantage », a-t-il affirmé.
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