Le défenseur de Laeticia Hallyday n’est pas seulement avocat d’affaires. Fin lettré, et nourri de culture iranienne, il publie un livre sur la Perse.
Ardavan Amir-Aslani est habitué des grands écarts : il défend aussi bien Johnny que la République d’Irak, a connu l’exil puis la bonne fortune, et se passionne autant pour le droit des affaires que la culture persane, qui a irrigué en son temps aussi bien les sciences et l’art que la philosophie. C’est l’objet de son dernier livre, De la Perse à l’Iran, 2 500 ans d’Histoire, publié aux éditions de l’Archipel. Un plaidoyer pour la culture de ce pays qu’il a dû quitter à 14 ans, avec sa mère, lors de la révolution islamique dirigée par l’ayatollah Khomeini. « J’ai voulu écrire ce livre pour mieux faire connaître l’Iran, montrer la place que ce pays a eue dans l’histoire du monde et de la civilisation musulmane, comment il a toujours été un carrefour géographique et culturel », nous explique-t-il dans son splendide bureau de l’avenue Montaigne, qui lui sert de QG à Paris – il a ouvert également un bureau à Téhéran il y a deux ans.
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