Le Conseil fédéral déroule le tapis rouge pour accueillir ce mardi le président iranien Hassan Rohani. Mais ne ferait rien pour protéger les entreprises suisses contre d’éventuelles sanctions américaines si elles investissaient en Iran.
Après la signature de l’accord sur le nucléaire iranien en juillet 2015 et la mission économique du conseiller fédéral Johann Schneider-Ammann à Téhéran en février 2016, plusieurs entreprises suisses avaient lancé le processus pour investir en Iran. Après le retrait des Etats-Unis de cet accord et la mise en place des sanctions américaines le 18 mai dernier, ces entreprises abandonnent leur plan. Selon Shelby du Pasquier, avocat chez Lenz et Staehelin à Genève, les établissements financiers et industriels suisses font preuve de prudence.
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