Aujourd’hui, l’interdépendance entre les Etats s’intensifie, entraînant alors une reconsidération de la notion de la gouvernance internationale. Désormais, seule la puissance économique ou militaire paraît primer sur l’Etat de raison et où des bouleversements géopolitiques et environnementaux affectent sans distinction les victimes et les spectateurs.
Lisez l’intégralité de l’article sur l’Opinion.